Le paysage prend de plus en plus d'ampleur.
Tandis que très régulièrement, nous sommes dominés
par les pylônes.
A chacun de passé, nous regardons la suite et disons Úúúúùùùù
!
Le câble se fait aérien.
Quelquefois les pentes nous approchent...
Jusqu'à ce qu'il arrive... une rupture de pente, et c'est reparti
pour un p'tit tour ma p'tite dame...
Ah purée de pois, ça déménage cette montée
!
Notre mine devient visible. En effet, discernez-vous le tout petit
carré ? Alors, à droite, la trace horizontale d'un sentier,
dans l'herbe verdoyante et marmottante. Horizontale ??? Mais oui,
vous avez enfin la preuve que l'appareil photo était penché
! Truand, malotru, bandit de grand chemin, voyou, à truquer
les reportages... Bon allez on se concentre : la trace de chemin,
au bout sur la gauche, il y a un gros tas de roches blanches au dessus.
Sous une coulée rose, un machin-chose-truc. Et bien c'est là
!
Ah oui, mais avant il faut rejoindre la suite !
Eheh, on t'aura pigeonnier à la noix !
Nous y sommes presque...
Si tant presque que la fin du chemin se fait en rampant Úúúúùùùù
! Non en fait je dis ça pour vous faire patienter parce que
je n'ai pas réussi à trier les photos alors il faut
bien que je brode :-P
Le pigeonnier (dixit randonneurs de passage) est en fait un joli poste
de transformation électrique.
Dedans, il y a encore toute l'installation destinée à
accueillir les nids des pigeons tous les jeux de barres qui n'ont
pas été ferraillés.
Les boîtiers du bas sont des parafoudres. C'est vrai que ça
doit parfois remuer dans le coin.
C'est super de conserver ce patrimoine.
La mine est au dessus. C'est pas terminé la montée...
Mais déjà ça et là les témoignages
existent.
Serait-ce un mécanisme de treuillage ?
Au loin, c'est la station haute du téléphérique,
nous irons la voir.