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Les carrières de l'Oise (3/6)
La carrière C108
C'est une petite carrière d'un développement de 400 mètres, possédant trois camions très dégradés, mais jolis à voir. De nombreux secteurs sont dans un état de dégradation avancé. C'est appréciable tout de même.
Dans l'entrée sont placés éternellement des blocs
prêts à la sortie.
Un curieux petit château fort sépare deux parties d'exploitation.
Il reste là de vieux camions un peu fracassés.
On peut assez bien appeler ça de l'épave.
Même si celui du fond est tout de même pas mal.
Une roue de scie à pointe de tungstène.
L'intérieur de la carrière n'est pas ordonné.
De ce fait on va se faire la malle !
Les carrières C102
Le premier site est constitué d'une tranchée majestueuse dans la forêt. La carrière possède un pont à deux arches, une voie d'accès splendide et un tarn de 60 mètres. Le second site est assez semblable et notamment, il s'y trouve une vaste tranchée tout aussi jolie, même si le climat est pour le moins pluvieux, et une seconde voie d'accès de dimension plus restreinte. Il s'agit de C1025 et C1026. Le site est vaste. Les carrières sont reliées. C'est une grosse champi d'un développement de 4000 mètres. L'entrée est rave party, le reste est propre. Le site est totalement vide du moindre vestige, mais dans l'ensemble offre des galeries assez basiques, propres et agréables. Sous la pluie on prépare les couchages. Plutôt que de dormir dehors où ça devient impossible, on installe les hamacs dans une troisième entrée un peu excentrée.
A la vue de ce splendide pont à deux arches perdu dans la forêt,
nous attendions beaucoup de cette carrière.
En effet c'est un monde oublié dans les bois.
La tranchée d'accès à la carrière est
monumentale.
On arrive graduellement sur les parties souterraines.
C'est un monde particulier qui s'ouvre dans le bois, car plus on avance,
plus l'effet d'un micro-climat froid et humide se fait ressentir.
Les parties souterraines deviennent majestueuses
Cependant la réelle carrière souterraine fait 60 mètres
de long.
Un kilomètre plus loin perdu dans les bois, le schéma
se répète.
Ces trachées comme ils savent si bien le faire dans cette région.
Ca mène sur un cratère dans lequel subsiste une épave.
C'était probablement le camion des champignonnistes.
Ce cratère va donner accès à la vaste exploitation
souterraine.