Mixeur intensif Gustav Eirich.
Le maître des lieux de nos jours s'appelle Rou Rourou.
Encore le cheminement de la noria.
Pesage et dosage, chaque matière son chemin.
Ce que l'on voit en blanc est la matière vitrifiable.
Feu rouge à droite d'un four.
Un côté de four. Les tuyaux de gaz naturel ont été
démontés.
La cave de four et la ligne float ont été totalement
démantelées.
L'usine comportait les traditionnels ateliers mécanique et
électrique, mais aussi c'est plus spécifique : un atelier
composition, un vaste hall d'oxythermie (semble spécifique
au secteur verrier, réparation d'un four durant sa marche),
une caisserie, un hall échantillons (on en a parlé),
une recette découpe, une station d'épuration des eaux
(près de la centrale électrique). Un atelier, mais lequel
? servait au matage à l'acide, soit l'action de rendre le verre
mat avec un grain très fin.
Les halls étaient simplement numérotés.
En cette usine, si tu n'es pas italien, alors va compter les mouches
!
Il est interdit au personnel d'exécuter de son propre chef
des travaux qui ne lui ont pas été commandés.
Le hall du rougequeue.
Dehors ça respire un bien triste abandon.
Les halls, très basiques, ont fait l'objet de soins décoratifs
!
Derrière sans mystère, c'est... vide !
Et là encore, le bleu et le blanc s'alignent sans faillir.
Reflet d'usine.
Un hall annexe de la caisserie.
Oeuvre d'art encore une fois, dans un style qui souvent revient.
D.E.F.E.N.S.E. D.E. F.U.M.E.R qu'on a dit mazette !
Porte taillée sur mesure !
Voici l'implantation industrielle vue du toit. Tout devant c'est l'usine
jusqu'au château d'eau.
Et tout derrière c'est l'usine. Comme on le voit, on est totalement
isolé du monde extérieur. Il n'y a rien que le ciel
et les oiseaux parfois (les avions souvent).
L'ancienne centrale électrique, particulièrement esthétique
avec le bassin d'épuration des eaux, qui se rejette dans la
rivière juste attenante. Ce paysage change particulièrement
du reste.
L'intérieur en contrepartie est assez dénué d'intérêt.
L'escalier, à l'ancienne, plutôt mignon.
Station de déminéralisation.
Centrale électrique, malheureusement victime d'un vandalisme
féroce.
Le château d'eau.
La centrale à front de rue. C'est assez morne voire même
un peu triste.
C'est le moins qu'on puisse dire !