Les panneaux d'expression des syndicats, derrière l'entrée
officielle donnant sur la rue.
On y voit le détail des noms des personnes impliquées
dans les Tilleur-Centraux.
Je suis 18+ oui non j'accepte ? Nous voici désormais au pornodome.
C'est un local entièrement sombre et affreusement glauque,
avec plein de porno repoussant.
C'est l'annexe d'un petit atelier mécanique. Il devait y avoir
une ambiance là-dedans !
Voici l'atelier, avec un immense tour.
Il est bien conservé et tourne encore.
Cela fait de sacrées parois pour de telles halles.
Repartons dans les méandres des couloirs et couloirs et couloirs...
La zone non fumeur, dans la même pièce que les autres
!
La végétation regagne imperturbablement ses droits.
Comme je le disais, on s'enfonce dans le glauque.
Ca pourrit de toutes parts.
Le célèbre bureau photographié par Nicolas. Si
l'on compare avec sa photo, plus ancienne que la mienne, on voit qu'un
tas de papier est tombé, une fougère a poussé
et des urbex-machins ont apporté d'autres objets dans le but
de faire bien.
Nous voilà à nouveau dans une halle industrielle.
On se croirait presque dans les anciennes halles Henricot II à
Court-St-Etienne.
Bonnes vacances.
Derrière cette fenêtre se trouve une imprimerie. Elle
alimentait les sites en papiers à entête, en enveloppes,
en papeterie. Du coup on voit un peu quels étaient les sites
gérés par les ateliers centraux.
En descendant en rez-de chaussée, on trouve ce local jaune.
C'est un garage technique dans lequel il ne reste pas grand chose.
Il subit vandalisme jour après jour.