Corrosion ? Où ça ?
Dans le bâtiment des sulfates, les bétons sont rongés, les
structures métalliques sont corrodées à l'infini.
L'espèce de tas informe était un pillier en béton !
Comme c'est véritablement en très mauvais état, l'Ovam a
posé des barrières interdisant l'accès.
Près du scrubber, un tank dont la corrosion est une oeuvre d'art.
Tout est resté intact, nous avons même remarqué qu'un transformateur
était en fonctionnement...
Dans un atelier (probablement la salle des compresseurs), des poudres non identifiées.
Des colorants probablement, mais dans quel but ?
Cette
machine est un étau-limeur de marque Excelsior, très connue et réputée
en son temps. Ces machines
ne sont plus utilisées, ni fabriquées
de nos jours. C'est une technique comparable au rabotage.
Les colonnes à benzols sont maculées de guano. Dans certaines pièces,
il y en avait
20 centimètres d'épaisseur, noyant des cadavres
de pigeons en train de se dessécher.