Dans
une chambre d'exploitation, au bout de l'ardoisière Grand Fond.
Cette
ancienne porte était là pour fermer la descenderie Grand Fond, de
toute apparence uniquement destinée au personnel, puisque son orifice de
sortie se trouve dans une maison.
Une
personne était sur la corde, il la faisait bouger, celle ci est alors devenue
invisible sur la photo.
Le Canal des Paquis
Ce canal part depuis l'ardoisière Grand Fond, dessert l'ardoisière
Saint Quentin, puis se déverse dans la nature. Le canal se
rejette dans la Rimogneuse.
Ce
canal est équipé d'une ligne électrique qui circule à
l'air libre dans la galerie. Autant dire que lorsque c'était sous tension,
il était préférable de ne pas se retrouver là ! C'est
le passage du câble à la ligne aérienne. Ca s'appelle une
tête de câble. Ca doit être du 5500 V. Au premier plan, c'est
un sectionneur
Un
parasurtenseur. C'est une installation plutôt atypique pour un souterrain
!
On remarquera la prise de terre qui va dans l'eau.
Au
dessus, on accède à une chambre d'exploitation à l'aspect
ravagé.
Dans
le canal, les inscriptions d'un ancien ardoisier.
Plus
on ira loin, plus le niveau d'eau sera haut et boueux, tandis que la voûte
sera basse.
Une
consolidation faite avec le même type de crémaillère qu'à
l'ardoisière Saint-Brice.
Une
petite réserve d'eau, au niveau supposé de l'ardoisière Saint-Quentin.
L'ardoisière Saint-Brice
Le
bas de la grande descenderie. Cela donne l'apparence que c'est noyé exactement
au même niveau que dans l'ardoisière Grand Fond. Dedans, des restes
de berlines sont en train de se noyer.
L'inclinaison
du rail et son point de rupture, c'est une illusion d'optique à cause de
l'eau. C'est difficile à croire, même sur place, le rail est parfaitement
droit !
Des étayages dans une petite galerie qui monte à une
chambre d'exploitation supposée. Nous n'avons pas pris le risque
de grimper cette pente, surtout au vu de l'isolation de ces lieux.
Les
murs d'ardoises et les traces de tailles.