Dans la galerie vers l'assèchement, j'en ai profité que les autres
dormaient pour faire des photos.
H2S en train de s'armer de ses célèbres tongues 4x4 avec résistance
universelle.
Avec ce type-là, c'est tout un mythe qui s'écroule : celui de la
Lorraine glauque et glaciale. Il fait bon y vivre, on s'apprête pour un
grand repas rempli de convivialité. C'est un peu mondain il faut quand
même le dire.
Les Astres tentent de rejoindre Morphée...
...tandis que François est presque mort.
Un ancien transformateur peu avant d'arriver dans la galerie d'assèchement.
Ici, on est toujours dans la mine noire, la mine de l'Opéra
est bien plus loin.
Un détail du transformateur. François voulait surtout y montrer
l'état de corrosion des fusibles.
Voici le monument commémoratif, dédié à la mémoire
des fameux John Terrin et Henry Pathé. C'est un mur de cinq mètres
de long pour deux de haut. Il est constitué d'encastrements de boîtes
de conserve (pâté, sardines...) et de couvertures de boîtes
de camembert.
Ici, c'est normal que la photo soit blanche. C'est dans cette galerie
qu'une partie de rivière s'enfuit en étage inférieur
dans un bruit pas possible. Ca produit un brouillard important. En
bas, la galerie est vraiment tout sauf accueillante, ça pissouille
de partout, c'est plutôt trash comme aspect.
La traditionnelle photo de l'anti-bélier.
Les Astres juste après le baquage (on baque sur un kilomètre, bonheur
intense).
François use d'un stratagème pour se réchauffer les petits
petons (copyright Amm).