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La cokerie d'Anderlues


Vie et mort de la cokerie

Ce documentaire a été réalisé grâce à l'aide de Gilles Durvaux, sans qui tout cela n'aurait pas pu exister.
Un tout grand merci pour sa gentillesse et sa disponibilité.
Toutes les images sont disponibles en plus grand (pour pouvoir lire) en cliquant dessus.

 

La mise à mort de la cokerie

Ci-dessous, un compte-rendu de réunion, les directeur et ingénieurs mettent en place le mode opératoire de mise à mort de l'outil de travail. Nous sommes le 25 octobre 2002. la crainte, c'est que l'arrêt provoque des accumulations de gaz et des explosions, c'est pourquoi l'accent est mis sur l'aspect sécurité.

Ci-dessous, les instructions manuscrites de Jean Baudson, destinées à Dominique Lecomte. On ressent avec force que ce sont les derniers instants, les ordres sont emplis de tension.

Ci-dessous, les premiers rapports sur l'inertage des installations. Ce travail sera effectué jusqu'en mars 2003, où graduellement le site sera abandonné. En mars 2003, il restait 5 ouvriers.

Ci-dessous, le même document de mise à mort, paraphé, annoté, il s'agit d'un document de travail qui a servi au jour le jour, heure après heure...

La vie de la cokerie

Ci-dessous, quelques documents épars sur la vie de la cokerie, ce sont des notes de service, des papiers d'absence, des consignes, etc. Cela est annexe au cahier de four, on peut retrouver des documents de concièrge comme des nots destinées aux sous-produits.

Ci-dessous, un document destiné à Claude FEUILLAUX.


Ce document a été rempli par Eric SIMON.


Ce document est signé d'Alain DEBRICHY, chef des sous-produits.


Une note de service signée par Monsieur COGELS.


Une note de service signée par Jean BAUDSON.


Malheureusement la photocopie était de travers, il manque des noms.


Une note de service qui a bien vécu !

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