A
deux pas du hameau, une petite maison matrimoniale.
Elle
ressemble à celle de Giuseppe, sauf qu'elle
a son plancher effondré.
On
y trouve les premiers témoignages humains, la trace des Casaril.
Tous
les documents sont accessibles en plus grand en cliquant dessus, ça permet
de les lire.
Un
visage qui fait fortement penser à Giovanni Casaril,
lorsqu'il était jeune. Ce tintype a été trouvé dans
une
petite enveloppe, sans aucune mention. Il est difficile d'être sûr
de l'identité de cette personne.
Après
une dernière ruine sans identité.
Après
quelques derniers murs sans toits.
Nous
voyons une belle habitation au loin, derrière l'abri de jardin.
Il
subsiste le banc pour se reposer.
La
photo d'un jeune homme en habits militaires. Cette image a malheureusement subi
de l'inondation, ce qui entraîne que son visage est un peu passé,
mais on voit encore assez bien ses traits. Cette image provient peut-être
de l'armée, à l'époque on avait relativement peu de moyens
pour faire des photos. Serait-il Bruno ?
Dans
la maison, c'est intact comme si la famille venait de partir, ici le baquet pour
la vaisselle.
Un
document de guerre qui nous précise que Giovanni,
fils de Vittore (donc attention, ce n'est pas le Giovanni
à grandes moustaches mais celui-ci)
est le père de Bruno.
La
pièce pour fumer les jambons. Elle est attenante à la cuisine.
La
partie en béton à droite, nous pensons que c'est un four à
pain, nous avons retrouvé cette structure partout dans les maisons. Aussi
isolé en montagne, il fallait être autonome...