Les ouvriers JDN préparent le ferraillage.
Portrait.
La galerie ferroviaire a elle aussi une jolie longueur.
Cette fenêtre est un trou qui a été réalisé
pour y couler une fondation profonde.
Le trou a une profondeur de 10,80 mètres. On y injectera du béton.
Vu la profondeur, on y descend en téléski-télésiège
de chantier.
Ce trou est creusé à la main, vu l'exiguïté
des lieux, (3,05 mètres sur 1,10 mètre). 10,80 mètres
de profondeur à la pelle... Les sables sont excavés par
deux hommes et remontés dans ce cuffat. Tout cela part en brouette,
puis bien plus tard, une excavatrice l'amènera sur un gros tas,
à destination du tunnel Belliard.
Ici, l'opposition télésiège et trou permet de bien
comprendre la profondeur de la fondation.
Et oui, tout cela est creusé à la main... et tout cela sera
rempli de béton.
Les blindages sont destinés à éviter que le trou
ne se referme sur les hommes.
Ils servent aussi de coffrages perdus.
En cas de tremblement de terre, tout bougera sauf ce tunnel !
Comme ça, le tunnel a l'air si grand ! De nombreux blindages vont
encore renforcer la structure.
Sur le godet, deux dents ont été soudées sur le dessus
pour purger le ciel de la galerie.
Le bout du chantier, c'est à dire le front de taille. Derrière,
c'est Schuman, à quelques centaines de mètres près.
A ce niveau, le tunnel va obliquer vers la droite.
A gauche, c'est un géomètre qui marque des inscriptions
au mur. L'avancement du tunnel est suivi de près.
Le tunnel est en légère rampe montante vers Josaphat.
Le front de taille vu de plus près.
Le ventube amène de l'air frais au chantier.
Nous voici à nouveau dans le vide sanitaire.
Votquenne a le bonheur de vous présenter le premier train du tunnel
Josaphat.
Le train pour amener le personnel sur chantier.
Le véhicule tracteur est électrique.
Commentaire du chef de chantier : les
gardes-boue ont dû être améliorés !